Your browser doesn't support javascript.
Mostrar: 20 | 50 | 100
Resultados 1 - 8 de 8
Filtrar
1.
Cureus ; 14(3): e23127, 2022 Mar.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: covidwho-1766153

RESUMEN

Autoimmune bullous diseases (AIBDs) are a heterogeneous group of diseases characterized by cutaneous and mucosal vesicles, blisters, and erosions. Several factors can trigger this disease, including vaccines; but this entity remains very rare. We hypothesized that vaccination against coronavirus disease 2019 (COVID-19) could trigger an immunological response in genetically predisposed individuals. We report five cases of new-onset autoimmune bullous diseases triggered by the COVID-19 vaccine. Clinical and histopathological examinations confirmed the diagnosis of bullous pemphigoid (BP) in three patients and pemphigus in the other two. According to the French method of imputability, the pharmacovigilance investigation showed an I5B4 causality assessment score for the vaccines, interpreted as highly probable, for all the patients. The diagnosis of vaccine-induced autoimmune bullous dermatosis was highly suspected. One patient's condition improved by dermocorticoids alone, while the other four required oral corticosteroid therapy at 0.5 mg/kg/day, which led to a favorable outcome.

2.
Annales de Dermatologie et de Vénéréologie - FMC ; 1(8, Supplement 1):A312-A313, 2021.
Artículo en Inglés | ScienceDirect | ID: covidwho-1520943

RESUMEN

Introduction La maladie à Coronavirus 19 (COVID-19) est une pandémie émergente causée par le Coronavirus-2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2). Ce virus présente des interactions étroites avec le système immunitaire, suggérant son implication dans la survenue ou le déclenchement de nombreuses maladies auto-immunes, telles que le lupus érythémateux systémique. Nous rapportons le cas d’une patiente ayant développé un lupus érythémateux systémique concomitamment à une infection à SARS-CoV-2, compliqués par un syndrome d’activation macrophagique. Matériel et méthodes Une patiente âgée de 18 ans, sans antécédents pathologiques particuliers, s’est présentée pour un exanthème maculo-papuleux avec myalgies, fièvre et asthénie évoluant depuis 15jours. L’examen clinique a révélé un exanthème maculo-papuleux localisé au visage, tronc et membres supérieurs avec atteinte palmoplantaire, œdème facial ainsi que de multiples érosions labiales et palatines. L’interrogatoire n’a pas révélé de notion de photosensibilité, chute de cheveux, arthralgies ou de prise médicamenteuse antérieure. Une tomodensitométrie thoracique a été réalisée montrant des infiltrats pulmonaires bilatéraux, le test PCR sur prélèvement nasopharyngé était positif pour le SARS-CoV-2. Devant ce tableau, notre patiente fut admise dans une unité de soins intensifs pour prise en charge. L’analyse biologique avait révélé une anémie normochrome normocytaire arégénérative, leuco neutropénie, lymphopénie et thrombopénie;les anticorps antinucléaires et anti-ADN natifs étaient positifs, complément consommé, anticorps anti-phospholipides négatifs, protéinurie de 24h positive avec négativité des sérologies VIH, syphilitique et rickettsiose. Le diagnostic de lupus érythémateux systémique concomitant à une infection COVID-19 a été retenu. Trois jours après son hospitalisation, notre patiente a développé un syndrome d’activation macrophagique traitée par des bolus de méthylprednisolone avec relais par voie orale avec bonne évolution clinique et biologique. Discussion Il a été prouvé que certains virus, y compris le SARS-CoV-2, induisent l’activation d’une réponse immunitaire anormale chez des individus génétiquement prédisposés, entraînant ainsi une libération accrue de cytokines à l’origine du déclenchement de maladies auto-immunes telles que le lupus érythémateux systémique. Cet « orage cytokinique » est à l’origine également du syndrome d’activation macrophage avec possibilité d’induction de lésions tissulaires graves. À notre connaissance, notre cas est le deuxième rapporté de diagnostic concomitant de lupus érythémateux systémique et infection COVID-19 et le premier cas compliqué d’un syndrome d’activation macrophagique.

3.
Annales de Dermatologie et de Vénéréologie - FMC ; 1(8, Supplement 1):A284, 2021.
Artículo en Inglés | ScienceDirect | ID: covidwho-1520936

RESUMEN

Introduction Face à la pandémie de COVID-19, un changement brutal de comportement sous forme de généralisation du port du masque s’est imposé, pour réduire le risque de transmission du virus. Cependant, le masque peut provoquer divers problèmes de peau du visage, dont l’incidence peut varier selon le type de masque utilisé. Matériel et méthodes Il s’agit d’une étude analytique transversale menée entre janvier 2021 et avril 2021 au CHU de Casablanca dans le service de dermatologie et vénéréologie. Les questionnaires étaient auto-administrés et les réponses ont été recueillies de manière anonyme. Résultats Un total de 542 participants ont rempli les questionnaires. La plupart étaient des femmes (68 %) âgées en moyenne de 30 ans (64 %), les hommes représentant 32 % avec un âge moyen de 31 ans (51 %). Le type de peau le plus courant était la peau normale (34 %), suivie de la peau mixte (29 %), de la peau grasse (21 %) et enfin de la peau sèche (16 %) avec une prédominance du phototype III (40 %). Le produit le plus utilisé était une crème hydratante (48 %). La plupart des participants ont porté des masques faciaux pendant plus de 4 heures et moins de 8 heures par jour (54 %). Quant au type de masque, 300 participants (55 %) portaient des masques chirurgicaux, tandis que 140 participants (26 %) portaient des masques en tissu. Seuls 102 participants (19 %) ont utilisé des masques FFP2 ou N95 pendant la pandémie, la majorité d’entre eux (90 %) étant des travailleurs de la santé. Au total, 170 participants (31 %) se sont plaint de réactions cutanées indésirables après l’utilisation du masque. Les poussées d’acné représentaient la plus grande proportion des rapports (39 %), suivies par le prurit (27 %) et la pigmentation (9 %). Les autres réactions cutanées comprenaient une éruption érythémateuse (8 %), une douleur (7 %), une dermatite de contact (6 %), une aggravation de dermatoses préexistantes (3 %). Discussion Le Maroc était parmi les premiers pays ayant fabriqué les masques en interne pour avoir une autosuffisance avant de commencer l’exportation des excédents de fabrication vers différents pays. En comparant les réactions cutanées indésirables entre les différents types de masques, l’incidence des réactions avec les masques chirurgicaux était plus élevée qu’avec les masques en tissu pour chaque type de réaction cutanée indésirable, avec des différences significatives pour l’acné, le prurit et la pigmentation. La plupart des masques chirurgicaux sont généralement composés de 3 à 4 couches de tissu, complétées par 2 feuilles filtrantes. En comparaison, les masques en tissu sont fabriqués à partir de divers textiles, tels que le coton, le polyester ou la soie. Le plus grand nombre de couches dans les masques chirurgicaux peut produire un effet d’occlusion plus prononcé que les masques en tissu.

4.
Annales de Dermatologie et de Vénéréologie - FMC ; 1(8, Supplement 1):A229-A230, 2021.
Artículo en Francés | ScienceDirect | ID: covidwho-1520922

RESUMEN

Introduction Les dermatoses bulleuses auto-immunes (DBAI) sont des affections potentiellement mortelles qui nécessitent des traitements immunosuppresseurs au long cours. L’infection à SARS-Co-2 s’est répandue dans le monde entier et des taux de mortalité plus élevés ont été signalés chez les personnes âgées et les patients atteints de comorbidités. Le but principal de cette étude était de définir l’incidence et le pronostic de la COVID-19 chez les patients atteints de DBAI. Matériel et méthodes Quatre-vingt-quinze patients atteints de DBAI suivis dans le département de dermatologie et de vénéréologie de Casablanca, entre janvier 2015 et janvier 2021 ont été inclus. Le diagnostic de la COVID-19 a été basé sur une PCR positive ou une atteinte pulmonaire typique à la tomodensitométrie thoracique. Résultats Parmi les quatre-vingt-quinze patients, seize (16,8 %) ont eu un diagnostic de COVID-19, neuf ont été hospitalisés, dont cinq en unité de soins intensifs, etquatre sont décédés. Le SARS-Cov-2 a été détecté chez 14 patients (87,5 %) par la PCR. Dix patients (62, 5 %) ont réalisé une tomodensitométrie. Neuf patients étaient suivis pour un pemphigus et sept pour une pemphigoïde bulleuse. Quatre patients (25 %) recevaient de la prednisone>10mg/jour, dont trois (75 %) présentaient des symptômes graves. Cinq (31, 2 %) étaient sous≤10mg/jour, et sept (43, 7 %) n’étaient pas sous corticothérapie, dont quatre (33 %) présentaient des symptômes graves. La plupart des patients atteints de pemphigoïde bulleuse avaient des symptômes graves et ont été hospitalisés. Aucun des patients n’avait interrompu les traitements prescrits ;aucun des trois patients sous rituximab n’avait présenté des symptômes liés à la COVID-19. L’étude analytique a révélé un risque relatif (RR) d’avoir une forme grave de COVID-19 de 4, 71 pour les patients présentant des comorbidités et un RR de 2, 27 pour les patients recevant plus de 10mg/jour de prednisone. Discussion Bien que l’âge avancé et d’autres comorbidités telles que l’hypertension artérielle et le diabète soient des facteurs de risque bien définis des formes graves de COVID-19, le rôle de l’immunosuppression est toujours controversé. La plupart des patients atteints de pemphigoïde bulleuse ont eu des symptômes graves et ont été hospitalisés, ce qui peut être lié au fait que cette maladie survient chez des patients âgés qui présentent généralement d’autres comorbidités. Une dose de prednisone≥10mg/jour a été associée à un risque accru d’hospitalisation. De plus, des séries de cas antérieures ont montré qu’une durée de traitement plus longue est plus fréquemment associée aux formes symptomatiques de COVID-19 et qu’une durée de traitement plus longue crée probablement une condition prédisposant au risque d’infection.

5.
Annales de Dermatologie et de Vénéréologie - FMC ; 1(8, Supplement 1):A162-A163, 2021.
Artículo en Inglés | ScienceDirect | ID: covidwho-1520913

RESUMEN

Introduction L’érythème noueux (EN) est une réponse d’hypersensibilité retardée qui peut être due à des infections et des vaccins. De rares cas d’EN post-COVID-19 ont été récemment signalés, mais aucun EN due aux vaccins anti-COVID-19 n’a été documenté. Nous rapportons 3 cas d’EN post-vaccination anti-COVID-19. Matériel et méthodes Trois patientes, ayant un cancer du sein en rémission, une cardiopathie et une tendinite, ont consulté pour des nodules douloureux des membres, évoluant depuis un mois. Les âges étaient de 66, 62 et 46 ans. La survenue de l’EN a eu lieu respectivement 2, 4 et 3 jours après la deuxième injection du vaccin AstraZeneca. Aucune patiente ne rapportait d’épisode infectieux précessif. L’examen physique montrait une dermohypodermite érythémateuse des 4 membres chez l’une des patientes et des 2 membres inférieurs uniquement chez les 2 autres. Certaines lésions avaient un aspect régressif selon la couleur de la biligenèse. Leur diamètre variait de 2 à 3cm. Il n’y avait pas d’adénopathies palpables. Les bilans biologiques et radiologiques étaient sans particularité. La biopsie cutanée était réalisée chez 1 patiente montrant une hypodermite septale fibrosante sans atteinte vasculaire associée à un infiltrat granulomateux dermohypodermique suggérant un EN. Les patientes ont reçu un traitement symptomatique fait de vitamine C, antihistaminique et dermocorticoïdes avec légère amélioration. Discussion L’EN est la forme clinique la plus fréquente d’hypodermite aiguë chez les femmes entre 20 et 40 ans. Dans notre cas, l’apparition de l’EN était tardive dans 2 cas. Les manifestations typiques de l’EN sont des nodules érythémateux, douloureux, bilatéraux, principalement sur les membres inférieurs. L’EN se résout habituellement spontanément en 8 semaines. Le diagnostic est habituellement clinique mais dans certains cas douteux, une biopsie peut être nécessaire montrant une inflammation de la jonction dermohypodermique contenant des neutrophiles et des éosinophiles, se transformant en un infiltrat de lymphocytes et d’histiocytes. Des granulomes histiocytaires, connus sous le nom de granulomes radiaux de Miescher, peuvent être trouvés comme chez notre patiente. Chez nos malades, l’administration récente du vaccin a probablement déclenché l’EN. À notre connaissance, aucune association antérieure entre l’EN et un vaccin COVID-19 n’a été rapportée ce qui rend notre observation intéressante. Conclusion Nous rapportons trois cas exceptionnels d’EN survenant après la vaccination anti-COVID-19. De plus en plus de personnes vont se faire vacciner. Les cliniciens doivent donc être attentifs aux effets secondaires des vaccins anti-COVID-19, notamment aux manifestations cutanées.

6.
Annales de Dermatologie et de Vénéréologie - FMC ; 1(8, Supplement 1):A154-A155, 2021.
Artículo en Inglés | ScienceDirect | ID: covidwho-1520908

RESUMEN

Introduction L’apparition de la COVID-19 et son impact sur la santé mondiale ont rendu le développement de vaccins crucial afin d’éviter un taux de mortalité élevée. Il existe 3 principaux types de vaccins dans le monde: les vaccins à l’acide ribonucléique messager, à vecteurs adénoviraux dont AstraZeneca et à virus entier inactivés dont Sinopharm. L’objectif était de recenser les différentes manifestations cutanées apparues après vaccin COVID-19 utilisés au Maroc (AstraZeneca et Sinopharm). Matériel et méthodes Nous avons réalisé une étude prospective entre février et mai 2021 des patients ayant consulté pour une réaction cutanée post-vaccinale au service de dermatologie et vénérologie de l’hôpital universitaire Ibn Rochd. Des éléments anamnestiques concernant l’âge, le sexe, le délai d’apparition après la première ou la deuxième dose et le type du vaccin ont été collecté. Un examen clinique minutieux a été effectué. Quatre patients ont bénéficié d’une biopsie cutanée. Résultats Un total de 34 patients a été recensé. Dix-neuf patients ont reçu le vaccin AstraZeneca et 15 celui de Sinopharm. L’âge moyen était de 47,8 ans. Une prédominance féminine (70,5 %) a été notée. Vingt et un patients (61,7 %) avaient développé des réactions après la première dose. Le délai moyen de survenu des réactions était de 3,7 jours. Huit patients avaient eu des réactions dites immédiates (<4h). Les réactions étaient réparties comme suit: urticaire (n=8), angiœdème (n=3), prurit (n=5), érythème noueux (n=3), herpès (n=2), zona (n=2), exanthème maculopapuleux (n=2), vascularite à type d’urticaire fixe (n=2), érythème polymorphe (n=1), DRESS (n=1), toxidermie lichénoïde (n=1), réaction anaphylactique (n=1), éruption varicelliformes (n=1), éruption annulaire généralisée (n=1), poussée d’un lupus cutanée (n=1), psoriasis vulgaire (n=1), pemphigoïde bulleuse (n=1), fasciite de Shulman (n=1). Discussion Les manifestations cutanées de la COVID-19 ont été bien documentées et comprennent des éruptions morbilliformes, urticariennes, varicelliformes, vasculopathiques et des lésions type engelures. On en sait moins sur les effets indésirables cutanés des vaccins contre la COVID-19. Dans le peu d’études publiées, en particulier concernant les vaccins à ARNm, certaines de ces manifestations sont apparues après la vaccination. Les réactions localisées au site d’injection, immédiates ou retardées, sont les plus fréquemment rapportées. Ce n’est pas le cas de note étude. Ceci est probablement dû au fait que les patients négligent ou ne consultent pas pour ce type de réactions. L’urticaire, l’angiœdème, le prurit et l’exanthème morbiliforme étaient fréquents ce qui est le cas de notre étude. Il est important de distinguer les réactions d’hypersensibilité immédiate qui surviennent dans les 4 premières heures suivant l’injection, de celles survenant 4 heures après, particulièrement pour l’urticaire et l’œdème de Quincke, qui sont des contre-indications potentielles pour une 2e dose de vaccin.

7.
Annales de Dermatologie et de Vénéréologie - FMC ; 1(8, Supplement 1):A147-A148, 2021.
Artículo en Inglés | ScienceDirect | ID: covidwho-1520907

RESUMEN

Introduction Le port d’un masque facial permet d’éviter la propagation du virus et entraîne une diminution du nombre de cas de COVID-19. « Maskné » terme inventé lors de la pandémie COVID-19, pour désigner l’acné liée au port d’un masque, fait référence à l’acné mécanique, précédemment décrite chez les professionnels de santé, mais actuellement généralisée à l’ensemble de la population. L’objectif de notre étude est d’étudier les caractéristiques épidémio-clinique du masque acné au chu de Casablanca. Matériel et méthodes Cette étude rétrospective a été réalisée sur une période de 5 mois, allant de décembre 2020 à avril 2021, collectant 20 cas d’acné secondaire au port d’un masque dans notre service de dermatologie. Les critères d’exclusion étaient les patients atteints de dermatoses faciales autres que l’acné. Un questionnaire standardisé a été développé et la sévérité de l’acné a été jugée selon les recommandations du SDF 2015 et les données ont été analysées avec le logiciel Epi-info version 3.5.1. Résultats Au total, vingt cas ont été colligés, dont 6 hommes et 14 femmes avec un sex-ratio de 0,42. L’âge moyen était de 23,5 ans, allant de 20 à 27 ans. Les professionnels de santé représentaient 65 % des cas. Les patients avaient des antécédents d’hyperséborrhée dans 6 cas (30 %), d’acné dans 3 cas (15 %), les deux dans 6 cas (30 %) et sans antécédent dans 5 cas (25 %). Le type de masque utilisé était un masque chirurgical dans 11 cas (55 %), un masque FFP2 dans 8 cas (40 %) et N95 dans un seul cas (5 %). Une durée de port du masque supérieure à 8 heures dans 14 cas (70 %), entre 4 et 8 heures dans 6 cas (30 %) et aucun des 20 patients n’a rapporté une durée de port du masque inférieure à 4 heures. Une aggravation de l’acné préexistante a été rapportée dans 7 cas (35 %) et une apparition primaire dans 13 cas (65 %). Une acné mixte a été notée chez tous les patients. Les cas d’acné se répartissaient en : acné légère dans 3 cas (15 %), acné moyenne dans 11 cas (55 %), et acné sévère dans 6 cas (30 %). Discussion Bien qu’il y ait des effets secondaires inévitables lors de l’utilisation prolongée d’un masque, le port d’un masque est l’une des approches essentielles pour réduire la propagation du virus SARS-CoV2. Ce tableau est probablement un trouble d’occlusion folliculaire lié au stress mécanique dû à la pression, occlusion, frottement et aussi au déséquilibre du microbiome causé par la chaleur, pH et humidité. Il convient de noter que non seulement le port prolongé des masques faciaux peut affecter les poussées d’acné, mais également le type de masque porté. Des recommandations telles que des pauses fréquentes, un remplacement régulier du masque chirurgical après 4 heures et une application d’une crème hydratante peuvent atténuer les effets du port du masque à long terme et en particulier pour le personnel soignant.

SELECCIÓN DE REFERENCIAS
DETALLE DE LA BÚSQUEDA